Compte rendu Sur "La Nuit" d'Elie Wiesel

383 mots 2 pages
Elie Wiesel, raconte dans le récit « La Nuit » (1958), son parcourt avec sa famille qui avaient été déportée lors de la seconde guerre mondiale, de leur village en passant par différents camps de concentration jusqu’au dernier, Buchenwald, où la mort de son père le sépare avec lui. Après un long trajet en train, le père d’Elie se rapprochait petit à petit de la mort lorsque deux prisonniers tentent de le jeter en route, mais ils étaient par après convaincus qu’il était encore vivant parmi les vingt autres qui avaient été jetés et d’autres qui mouraient de faim, qui en 2003, était « la première cause de mortalité dans le monde: 24000 personnes mouraient de faim chaque jour »1
Lorsqu’ils arrivent à Buchenwald, la situation du père d’Eliezer continue à se détériorer. Il devient de plus en plus incapable et ne peut pas bouger. Même sa ration, et du café, il faudrait qu’Eliezer, son fils les lui apporte, contre le gré des autres prisonniers qui lui conseillaient de ne plus perdre cette ration pour quelqu’un qui va bientôt mourir. Le père d’Eliezer est très malade de la dysenterie, et ne peut plus être traité par aucun médecin qui, l’un se dit « Ce n’est pas mon affaire »2 et l’autre qui dit que ces malades étaient des « paresseux… et ne voulaient seulement au lit… »(E 190). Eliezer essaye de lui donner de l’espoir tout en étant dans son esprit du côté de ceux qui veulent se libérer de son père. Après plusieurs jours au lit de malade, dans l’agonie avec sa dysenterie, et son fils Elie lui même fatigué, qui s’en dort dans son désespoir, il se réveille le lendemain matin, et découvre que le lit de son père est vide. Son père est parti, Eliezer est plus soulagé que d’être triste. Eliezer se sent plus coupable qu'il n'a pas de larmes à verser. Il ne sait pas quoi ressentir :
«Mais je n'avais plus de larmes. Et, au fond de moi-même si j’avais fouillé les profondeurs de ma conscience débile, j’aurai peut être trouvé quelque chose comme : enfin libre!...»

en relation

  • L'été meutrié
    1159 mots | 5 pages
  • Fiche de lecture de "l'expérience du malade, l'épreuve intime" de g-n fisher
    2708 mots | 11 pages
  • Commentaire de l'enfant de jules vallès
    933 mots | 4 pages
  • Dossier pse
    426 mots | 2 pages
  • Jeudi 15 janvier 2015 jean Rouaud
    6849 mots | 28 pages
  • Adhuc stat
    879 mots | 4 pages
  • le cochet
    297 mots | 2 pages
  • Le dictateur charlie chaplin
    513 mots | 3 pages
  • Dissertation mémoires d'hadrien
    2385 mots | 10 pages
  • Athènes
    314 mots | 2 pages
  • Fragilité de j.c. carrière
    655 mots | 3 pages
  • Commentaire composé Lettre d'une Péruvienne, lettre 41
    810 mots | 4 pages
  • Dissertation
    1654 mots | 7 pages
  • Peut-on définir l'homme ?
    652 mots | 3 pages
  • But de l'éducation
    1275 mots | 6 pages