Compte rendu d'un village des cannibales de ferdinand claudel
C’est à partir de ce sujet et à l’aide d’une très grandes documentations géographiques, historiques, psychologiques et judiciaires qu’Alain Corbin va tenter dans cet ouvrage de relater des faits le plus précisément et chronologiquement possibles afin de nous présenter un sordide assassinat, pouvant paraitre aujourd’hui comme inhumain et immorale mais qui pourtant à l’époque résulte d’un contexte et un comportement commun dans la région de cette évènement. Pour commencer son propos, Alain Corbin, va tout d’abord faire une mise en contexte, quitte à revenir dans le passé afin de nous donner les bases utiles à la compréhension du livre, il va ainsi revenir sur les « racines », comme il l’emploi dans son ouvrage, de la foule et pourquoi …afficher plus de contenu…
C’est dans ce contexte que les paysans blâme et rejette la République et soutient Napoléon Bonaparte, cette situation est aussi tendu, encore plus, par l’appréhension de l’envahissement probable des prussiens et la vision « fourbes » qu’on les paysans de l’Eglise et des nobles.Une fois cette mise en contexte et toutes ces explications posées, Alain Corbin revient sur la date du 16 août 1870, où Alain de Moneys, durant une période où s’est déroulé la foire et la fête nationale à Hautefaye, sera accusé d’avoir crié « Vive la République », or Alain Corbin nous apprends que ce serait son cousin Camille de Maillard qui aurait scandé cette exclamation et se serait enfui juste après ça.