Conception de l'amour au xviieme
Texte 1 : Madeleine de Scudéry, Clélie, histoire romaine (1654-1660)
Texte 2 François de la Rochefoucauld, Maximes (1664)
Texte 3 : Jean Racine, Phèdre : Acte II scène 5 (1677)
Texte 4 : Madame de la Fayette, la princesse de Clèves (1678)
Questions :
Ces extraits présentent-ils les mêmes conceptions de l’amour et de l’homme ? Ces textes 2 , 3 et 4 présentent tous des conceptions de l’amour et de l’homme pessimiste, cependant, les auteurs présentent ses conceptions différemment. Or, le premier texte , nous pouvons dire qu’il évoque une conception de l’amour plutôt positive car Madeleine de Scudéry fait « une carte de l’amour » , qui exprime ce qu’on doit faire pour arriver jusque l’amour, ce qui est plutôt positif car cet auteur insinue que l’amour est a la portée de tout le monde, ainsi la vision de l’homme dans ce texte est de la même manière mis en valeur, je le comprend grâce à l’appellation « madame » répété ligne 9 et ligne 21 qui me fait comprendre l’homme sait déjà tout sur l’amour, seule la femme est concerné , mais aussi la phrase « vous verrez qu’elle a imaginé qu’on peut avoir de la tendresse par trois causes différentes » ligne 2 , confirme que l’homme n’est pas concerné par l’amour mais que pour lui, c’est un échange, ici cette phrase montre que la femme peut avoir de la tendresse de la part de son mari que si on fait quelque chose. Dans ce texte l’homme est alors désigné méliorativement , comme un dieu du sentiment humain.
Dans le deuxième texte, la maxime « Nous aimons toujours ceux qui nous admirent et nous n’aimons pas toujours ceux que nous admirons » montre que , comme Madeleine de Scudéry , François de la Rochefoucauld pense que l’amour n’est pas naturel, ensuite la maxime « la constance en amour est une inconstance perpétuelle , qui fait que notre cœur s’attache successivement à toutes les qualités de la personne que nous aimons, tantôt à l’une, tantôt l’autre ; de sorte que cette