Conclusion de tpe sur le sommeil
Le sommeil a souvent été considéré comme un arrêt momentané de l'activité physique et cérébrale. Or certaines études nous ont montré que le sommeil, indispensable à l'Homme (en effet celui-ci favorise la récupération de l'organisme et permet au cerveau d'acquérir les nouvelles informations et de « stocker » les expériences vécues), se décompose en cycles d'environ 90 minutes, eux-mêmes divisés en différentes phases. L'étude d'électroencé-phalogramme, nous a montré que le cerveau travaille activement dans l'une de ses phases qui est le sommeil paradoxal. Cela nous prouve que le cerveau est actif durant le sommeil, celui-ci n'est alors pas un arrêt de l'activité cérébrale. En revanche, le temps de sommeil varie d'un individu à l'autre en fonction de son âge et de ses besoins.
Le sommeil agit alors autant sur le plan moral que sur le plan physique. En effet le corps sécrète certaines hormones durant le sommeil (tel que l'hormone de croissance chez l'enfant), mais il joue aussi un rôle important sur la digestion. Sur le plan moral, le sommeil permet au cerveau de consolider les expériences vécues au cours de la journée.
Cependant, le sommeil connaît certains troubles, différenciés en 2 groupes : les dyssomnies, altèrent la quantité et la qualité du sommeil, et les parasomnies, d'origine pathologiques ou physiologiques. Les plus connues restent l'insomnie, l'apnée du sommeil, la narcolepsie ou encore le somnambulisme. Ceux-ci entraînent généralement un manque de sommeil, ce qui peut engendrer une accélération du vieillissement, une prise de poids qui peut aboutir à de l'obésité ou encore une diminution des capacités du cerveau. Le sommeil agit donc également sur notre