Concurrence monétaire et compétitivité des nations
Attention, ne pas confondre dépréciation/appréciation (perte de valeur sur le marché financier) & dévaluation/réévaluation (décision volontaire de la BC)
Concurrence monétaire : compétition qui s’exerce par la monnaie entre les pays sur les marchés de B, S et K, donc par les pol de change et les POM
Compétitivité des nations : capacité d’une nation à s’imposer, par l’intermédiaire de ses entreprises, sur le marché (maintien et/ou croissance des parts de marché).
Compétitivité dépend des coûts de production (CI, coûts salariaux, fiscalité), de la pdté, mais aussi d’une dimension hors-coût (qualité des produits, caractère innovant, garantie, confiance dans le fournisseur). Compétitivité dépendante d’une localisation : certaines régions sont capabes d’atirer davantage de structures productives par leur dotation en facteurs (matériel industriel, MO bon marché ou très qualifiée).
Critique de Krugman, Competitiveness a dangerous obsession : les nations ne sont pas des ets. Il faut tenir compte de la dimension des pays et de leur dépendance vis-à-vis des échanges extérieurs. Crs de la pdté au sein du pays influe sur le niv de vie.
Ne pas réfléchir slmt sur la période post-1945, mais penser à évoquer livre-sterling au 19ème siècle, guerre monétaire des années 1930.
Courbe en J
Théorie des jeux : référence pertinente pour montrer l’avènement des systèmes coopératifs que ce soit à travers les crises financières (règles d’un système monétaire, monnaie unique) ou sous l’influence de certaines approches théoriques (monétaristes, NEC)
→ théorie des jeux (Nash) : ensemble d’outil pour analyser les situations dans lesquelles ce qu’il est optimal de faire pour un agent dépend des anticipations qu’il forme sur ce que les autres agents vont faire.
Dans les PED, l’insertion dans l’économie mondiale peut s’accompagner d’une stratégie de concurrence monétaire.
Manipulation du taux d’escompte par la Bq d’Angleterre au 19ème