Conférence d’ouverture (colloque science humaine)
Yves Michaud
Yves Michaud nous explique son expérience dans le monde de l’actionnariat en débutant par la première fois où il a déposé une proposition dans un assemblé général. Il nous mentionne comment le français n’était alors pas du tout utilisé dans ce monde et comment l’assistance dans la salle a été surprise par son utilisation de la langue française. Mr. Michaud nous explique comment le capitalisme a débuté avec la théorie de Ford de récompenser les employés avec un bon salaire pour qu’ils puissent avoir les moyens de s’acheter des automobiles. Cependant de nos jours le capitalisme n’est plus le même puisque qu’un président de compagnies est maintenant récompensé pour avoir mis a la porte 40 000 employés. De nos jours, il n’y a plus du tout de solidarité ni de justice sociale dans notre capitalisme qui est une fonction économique qui permet une meilleure répartition de la richesse s’il est bien exécuté. Il n’y a plus d’équilibre et trop de chômage, ce qui nous amènes dans une crise financière plus grave que celle de 1929. La mondialisation, le libre échange, éclate les cadres nationaux. Les nations, leurs identités, leurs singularités et leurs bagages culturels, sont nécessaires à l’équilibre économique. Les gouvernements doivent cesser de se préoccuper de la valeur économique qu’au court terme uniquement. Le pouvoir des gouvernements disparaissent déplus en plus et laisse les compagnies plus fragiles non protégée. Yves Michaud est le fondateur du MEDAC qui comporte environ 2000 membres à ce jour. Notre argent au Québec est géré de mauvaise façon et nous laissons les gestionnaires de notre argent faire tout ce qu’ils veulent sans poser de questions. Ce sont dans les conseils, les assemblées que tout se jouent. Les bulles financières ne font que crever. Nous devons demandez, en tant qu’actionnaire, ou notre argent est-il investit; la démocratie salariale. La crise financière est le résultat de dirigeants