Conflit polico militaire en cote d'ivoire
Le 19 septembre 2002, des soldats rebelles venus du Burkina Faso tentent de prendre le contrôle des villes d'Abidjan, Bouaké et Korhogo. Ils échouent dans leur tentative de prendre Abidjan mais parviennent à occuper les deux autres villes, respectivement dans le centre et le nord du pays.
La rébellion qui prendra plus tard le nom de « Forces Nouvelles » occupe progressivement la moitié nord du pays, le coupant ainsi en deux zones géographiques distinctes : le sud tenu par les Forces Armées Nationales de Côte d’Ivoire (FANCI) et le nord tenu par les Forces Armées des Forces Nouvelles (FAFN).
Sommaire [masquer]
1 Forces en présence
2 Origine du conflit
2.1 Le règne de Félix Houphouët-Boigny
2.2 Le concept d'ivoirité et son application politique
2.3 Coup d'État militaire
2.4 Dégradation du climat politique
3 Le conflit millitaire (septembre 2002–2007)
3.1 La rébellion
3.2 Intervention de la France
3.3 Les accords Kléber (dits « de Marcoussis »)
3.4 Les exactions et crimes commis depuis 2002
4 La reprise de la guerre (depuis octobre 2004)
4.1 Facteurs de reprise
4.2 L'opération Dignité
4.3 Les journées des 6 au 9 novembre
4.3.1 L'Appel du 6 novembre
4.4 Départs des étrangers
4.5 Reprise du processus de paix
4.6 Bilans des journées de novembre 2004
5 2005
5.1 Affaire Mahé-Poncet
5.2 Attaque
6 2006
7 2007
7.1 Accords de Ouagadougou
7.2 Attentat du 29 juin
7.3 Flamme de la paix
8 2010
9 Citation
10 Chronologie
11 Annexes
11.1 Bibliographie
11.2