Conscience
Depuis toujours l’être humain cherche, invente, pense, développe. Ce génie créatif plus ou moins intensifié est le propre de l’homme. Il lui permet de se distinguer des autres êtres vivants, il rend chaque individu unique de par sa pensée. De cette fantastique capacité d’imager les choses, de vouloir tout comprendre, est né la plus belle chose que l’homme n’aie jamais inventée : la science. Cet art d’innover, de comprendre, a permis depuis la nuit des temps de fulgurantes avancées technologiques comme de véritables révélations sur le monde qui nous entoure. Utilisant la science comme son outil favori le chercheur a peu à peu réussit des exploits que personne n’aurait osé imaginer dans ses rêves les plus fous.
Si l’on soustrait à l’homme sa connaissance donc sa science il nous reste une conscience, essence même de l’âme de chaque individu. Une conscience qui devrait permettre au génie créatif de peser le pour et le contre de ses découvertes. Mais le fait-il toujours bien ? N’aborde-t-il parfois pas les choses sous l’aspect seul de la science. Ne néglige-t-il pas encore de consulter ce qui fait de lui un être responsable ? Rabelais le dit bien : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme », en effet l’homme doué d’un goût pour les sciences ne doit