I-Polémique autour du refus de Financement du groupe Kairos

L’opposition accuse Bev Oda ministre de la Coopération internationale de leur avoir «menti», d’avoir «trafiqué» et d’avoir induit la Chambre en erreur, dans le dossier concernant l'organisme Kairos, un regroupement religieux œcuménique, qui développe des programmes dans plusieurs pays ,et qui recevait depuis 1973 des subventions d'Ottawa pour son travail. Le premier ministre Stephen Harper va-t-il démettre de ses fonctions cette ministre? Il ya lieu de noter que les trois parti d’opposition estiment qu’un climat de tromperie prévaut sous le règne du premier ministre Stephen Harper. Cette hostilité provient du fait que la ministre de la Coopération internationale a coupé les vivres à une organisation religieuse respectable. Elle a pour justifier son action trafiquée les documents de ses fonctionnaires afin de donner l'impression qu’ils ont consentie alors qu'ils ne l'étaient pas. Elle a selon les mêmes partis politiques induits la Chambre des communes en erreur.

Pour sa part la ministre affirme qu’après un examen rigoureux devant la chambre, les responsables du gouvernement ont décidé que la proposition de Kairos ne respectait pas les normes gouvernementales. La décision de l'ACDI de ne pas renouveler le financement de Kairos était basée sur une évaluation globale et non un critère en particulier. Le premier ministre Stephen Harper s'est porté à la défense systématique de Mme Oda en affirmant que lorsque le gouvernement dépense de l'argent et verse des subventions et contributions, ce sont les ministres qui prennent ces décisions et ils en portent la responsabilité. Ce n'est pas la décision d'un fonctionnaire nommé, ce n'est pas un droit acquis pour les organisations extérieures. Il revient au ministre de s'assurer que l'argent des contribuables est utilisé efficacement pour l’aide étrangère.

Cependant, Les médias ont mis la main sur la recommandation de