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1)C'est une satire philosophique :
La guerre vu comme un spectacle (L.1à3) L’horreur de la guerre (L3à9) La dénonciation de la philosophie optimiste de Leibniz (L9à la fin)
2) Ils dénoncent la violence et dans le texte B que la guerre ne sert a rien et qu'elle fait plus de mal que de bien. Voltaire regrette la notion d’héroïsme l’associant à l’horreur avec l’oxymore "boucherie héroïque", en effet une boucherie n’a rien d’héroïque c’est parce qu’elle n’est pas héroïque et bien au contraire lâche que voltaire utilise cette oxymore pour marquer son indignation. Le terme héroïque est donc le terme qui prouve l’ironie de l’auteur car il crée un décalage ave la réalité
3)Le champ lexical de la guerre : "armées", "canons", "mousqueterie", "baïonnette", "mort", "camp"
Champ lexical de la philosophie (tout est pour le mieux dans le meilleures des mondes) : "si beau", "si leste", "si brillant", "bien ordonné", "lois du droit public".
1. Dans le premier texte qui met en scène les soldats de l’an II de la 1ere République, Victor Hugo les présentes comme des héros proches des dieux de la mythologie, c’est une représentation épique. « En retournant les yeux dans leurs course olympique ».
Dans le second texte Napoléon III est représenté sous les traits d’un singe imposteur, c’est un représentation caricaturale. « Un jour, maigre et sentant un royal appétit, Un singe d’une peau de tigre se vêtit. »
2. Le premier texte relève du genre de la poésie épique , l’auteur ayant pour intention de provoquer l’admiration pour les héros qu’il présente. Il utilise pour cela un registre héroïque caractérisé par l’enchainement d’action, l’emphase : par accumulation d’adjectifs et de verbe l’emploi de nombreux superlatif et des adverbes d’intensité.
Le second texte relève du genre de la poésie un peu à la manière des « Fables de la fontaine », l’auteur utilise les registres ironiques et caricaturales pour servir son but qui est de ridiculiser le