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Introduction :
Nous allons étudier les textes suivant : deux poèmes de Guillaume Apollinaire « Automne malade » et « Le pont Mirabeau » publié en 1913 du recueil Alcools, ainsi que deux poèmes de Louis Aragon qui sont « Je chante pour passer le temps » et « Italia Mea » publié en 1956 du recueil Le roman inachevé.
Grâce a la problématique ''Avec quel(s) registre(s) le poète exprime-t-il la fuite du Temps ?'' nous verrons dans un premier temps nous verrons les poèmes qui se porte sur le registre lyrique et nous verrons pour finir le poème qui se porte sur le registre élégiaque.
a)
Le poème de Apollinaire « Automne malade » ainsi que les deux poèmes de Louis Aragon, nous amène à penser que la fuite du Temps est évoqué par le lyrisme.
Pour nous montrer cela, ils utilisent des champs lexicaux calme comme celui de la « nature » du « corps » dans le poème « Je chante pour oublier » avec ''oreilles '', ''genoux'', ''doigt'', ou encore ''cœur'' et ''yeux'' ou bien de celui « l'amour » .
Pour nous faire évoqué la Fuite du Temps les poètes utilisent des figures de styles, des comparaisons par exemple dans le poème de Louis Aragon Italia Mea « Mais c'est comme un bleuet qu'on se mit au corsage.
De plus ils utilisent des métaphore « Le vent et la foret qui pleurent » dans le poème de Apollinaire
Et enfin ils personnifie les nuits « Les nuit tomberont une à une » dans le poème de Louis Aragon.
b)
Le Poème de Guillaume Apollinaire « Le pont Mirabeau » est élégiaque, c'est à dire qu'il évoque le rêve par la mélancolie douce.
Apollinaire utilise un champ lexical du mouvement comme « s'en va » aux vers 13 et 14 ou encore « passent » et « coule » aux vers 19 et 22.
De plus il utilise des figures de style comme la comparaison au vers 13 « l'amour s'en va comme cette eau courante », une anaphore de « ni », une antithèse entre les jours et lui-même au vers 12 « les jours s'en vont je demeure » ou encore une métaphore au vers 9 « Le pont de nos bras