Corpus du bellay baudelaire
Ces trois poèmes ont pour thème principal la chevelure de la femme. Nous allons donc montrer comment ces trois poètes célèbrent-ils la femme à travers leur chevelure.
Dans une première partie nous verrons comment la synecdoque de la chevelure célèbre la femme aimée à travers ces trois poèmes. Ensuite, dans une seconde partie nous verrons que ces trois poèmes traitent de l’amour comme une sensation de chaleur ardente.
Dans cette première partie nous allons voir que dans ces trois poèmes, la synecdoque de la chevelure permet de célébrer la femme.
Des trois poèmes ont pour thème principal la femme avec la synecdoque de la chevelure. Les poètes utilisent une partie du corps, en l’occurrence la chevelure, pour désigner un tout, c’est-à-dire la femme aimée par le poète.
Premièrement, dans le texte A la femme est d’abord désignée par le terme « ces cheveux d’or sont les liens » au v.1, ainsi avec cette métaphore où les cheveux sont vue comme des liens, ils représentent prive le poète de « liberté » v.2. Le poète devient alors un amant prisonnier de la beauté de cette femme. De plus il y a une opposition entre les liens et la liberté. Cette même idée est reprise dans le texte C, au v.22 avec « où l’autre est enfermé ». Dans cette expression, l’adverbe de temps