corpus français
Ces trois textes l'un écrit extrait de Histoire des Voyages de Scarmentado écrit par Voltaire, l'autre extrait De l'Esprit des lois par Montesquieu et Candide de Voltaire aborde le même sujet, c'est à dire l'esclavage. Dans chacun de ces textes l'esclavagisme est décrit de la même façon, avec ironie. Effectivement dans le premier texte, celui de Montesquieu comme s'il soutenait l'esclavage ce qui complètement faux, on le voit grâce à : " Si j'avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nèges esclaves" le verbe 'si j'avais' laisse sous entendre que c'est un souhait comme l'indique le temps que l'auteur choisit, il ne prône donc pas l'esclavagiste et le dénonce de façon subtil et ironique. Dans le deuxième textes, l'extrait d'Histoire des Voyages de Scarmentado de Voltaire il choisit une autre manière de dénoncer l'esclavage mais aussi de façon subtile, l'auteur décide de faire dire au capitaine noir la façon dont les nègres sont traités par exemple : " Vous avez le nez long et nous l'avons plat..". De la même façon dans le troisième extrait, Candide, toujours de Voltaire, fait encore une fois passer ses critiques contres l'esclavagisme par le discour d'un noir que le personnage principal, ayant le même prénom que le titre, rencontre sur sa route, par exemple : "[...] quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe [...]" . De plus, les deux premiers textes, on retrouve les même arguments pour justifier la façon dont les blancs traitent les noirs. Il est vrai à plusieurs reprise on peut voir les mêmes argument complètement absurdes dans les deux textes l'un de Montesquieu l'autre de Voltaire, par exemple chez Montesquieu : " [..] ils ont le nez si écrasé qu'il est presque impossible de les plaindres." et chez Voltaire : " Vous avez le nez long et nous l'avons plat,.." le jugement sur l'apparence physique ici le nez est retrouvé dans les deux textes. Il y aussi sur la couleur de peau que les textes ceux rassemblent,