Corpus jo + questions
« En vertu des amendements adoptés par la 115e session du Comité international olympique en juillet
2003, la Charte olympique stipule que, pour être reconnue par le CIO, une fédération internationale doit adopter et mettre en œuvre le Code mondial antidopage (règles 26 et 44).
Pour être admis à participer aux Jeux olympiques, un concurrent, entraîneur, instructeur ou autre officiel
D’équipe doit respecter le Code mondial antidopage et s’y conformer dans tous ses aspects
(règle 41).
Par conséquent, à sa réunion des 22-23 juillet 2004, le comité directeur de l’UCI a décidé d’accepter le Code mondial antidopage et de l’incorporer dans les règlements de l’UCI, comme cela avait été fait dans la première version des présentes règles antidopage entrées en vigueur le 13 août
2004.
Des révisions au Code mondial antidopage ont été approuvées par le Conseil de fondation de
L’Agence mondiale antidopage en novembre 2007. Le Code mondial antidopage révisé est en vigueur depuis le 1er janvier 2009. »
Extrait des « règles antidopage du comité international Olympique » qui fut publier le 10 novembre 1999 à Montréal par le canadien Dick POUND et l’australien John FAHEY.
La championne olympique du poids sacrée à Londres, la Bélarusse Nadzeya Ostapchuk, a été disqualifiée pour dopage lundi. Une nouvelle qui ternit l'esprit des Jeux au lendemain de la cérémonie de clôture qui s'est déroulée dans l'euphorie.
Il s'agit d'une première pour un athlète médaillé aux JO-2012, même si plusieurs cas de dopages en athlétisme avaient été révélés durant la compétition. Nadzeya Ostapchuk s'est vu retirer sa médaille d'or au profit de sa dauphine, la Néo-Zélandaise Valerie Adams, championne olympique en 2008 et triple championne du monde en titre. La médaille d'argent va à la Russe Evgeniia Kolodko et le bronze à la Chinoise Lijiao Gong.
L'athlète bélarusse de 31 ans a passé deux contrôles antidopage, l'un la veille du concours et