corpus Proust Mauriac et Sarraute
Nous pouvons observer une différence d'attitude des mères envers leur enfant dans ces trois textes. Nous pouvons voir que dans Le sagouin et dans le Planétarium, nous trouvons des attitudes violentes de la part des mères. D'un coté nous avons de la violence physique dans le texte de Mauriac lorsque l'enfant se fait gifler à deux rerpises « une gifle claqua » (l.6) et « lui administra une seconde gifle » (l.10) et de l'autre coté nous retrouvons de la violence moral dans le texte de Nathalie Sarraute avec les disputes et dans les propos tenu « que je suis bête » (l.24) et « pauvre imbécile que je suis » (l.25). Cette attitude nous laisse deviner des rapports difficiles entre la mère et son enfant. Mais cette violence ne se retrouve pas dans le texte de Marcel Proust, au contraire la mère se trouve être tendre avec son fils, elle l'embrasse avant de dormir « maman viendrait m'embrasser » (l.2). Nous pouvons en déduire que cette relation est plutôt basée sur l'amour donc un rapport plus lié à l'amour que dans les autres textes.
Les rapports ne sont pas les même mais les sentiments sont toute fois similaires. Dans le texte de Marcel Proust et Nathalie Sarraute nous retrouvons deux mère aimant leur enfant. Chez Proust elle lui procure de la tendresse et elle l'embrasse le soir pour lui permettre de bien dormir tandis que dans Le Planétarium la mère de Gisèle se démène pour sa fille car elle veut qu'elle puisse avoir