corpus sur la lecture
Les personnages des trois premiers extraits s’adonnent à la lecture pour fuir un quotidien trop banal. Julien travaille dans le hangar de son père. Mais il n’est pas fait pour ce métier car il n’a pas les capacités physique « il eût peut-être pardonné sa taille mince, peu propre aux travaux de forces » de plus il étudie le latin pour devenir prêtre. Pendant ces heures de travail il préfère lire car cela lui permet de s’évader. Emma, jeune fille de quinze ans, est sœur dans un couvent mais elle adore lire des romans d’amour et de chevalerie « Ce n’était qu’amours, amants, amantes, dames solitaires… ». La lecture de ces romans permet à Emma de rêver d’amour, cela lui permet également de lutter contre l’ennui du couvent. L’enfant, dont on ne connaît pas le prénom « est mis aux arrêts », pour ne pas s’ennuyer il lit « Robinson Crusoé ». Après avoir repris connaissance l’enfant constate qu’il est resté là, « dévoré par la curiosité » à lire pendant des heures. Tous les trois lisent pour fuir un quotidien qui ne leur convient pas.
La lecture est pour ces lecteurs un moyen de s’évader. Ils deviennent alors fascinés par leurs livres.
En effet, la lecture suscite chez ces eux de la fascination, ils attachent une grande valeur sentimentale à leurs livres « c’était celui de tous qu’il affectionnait le plus ». La lecture crée chez eux des « émotion immense ». Ils s’attachent aux personnages « collé aux flanc de Robinson », « culte de Marie Stuart ». Ils aimeraient vivre les mêmes