Le corpus étudié est composé de deux textes et une photo , le document A est tiré de la scène 3 acte IV de Le Cid de Pierre Corneille publié en 1637 ,revu en 1682 , le document B est tiré d 'Incendies publié en 2003 par Wadji Mouawad et le document C est une photographie représentant la mise en scène de Stanislas Nordey avec Frédéric Leidgens de Violence – Corps et tentations par Didier Georges Gabily qui à était joué au théâtre de la Colline à Paris en 2011.
Ces trois textes ont en commun la violence et la guerre . Quels procédés sont employés pour évoquer la violence pour le lecteurs-spectateur ? Pour y répondre nous allons tout d’abord Voir comment la violence est racontée pour ensuite voir comment la violence est montrée .

Nous remarquons dans un premier temps que le le document a et le document b évoquent la violence grâce aux champs lexicaux de la violence , dans le document A "armés" ; "combattre" ; "guerre" ; "sang"; "mourir" ou "carnage", dans le document b : "cadavres" ; "fracassait le crâne" ; ; "planter le couteau" ; "lame" et "saigner" ; On remarque que dans le document A que corneille utilise une métaphore: "des ruisseaux de leur sang" , des personnifications : "Ils rencontrent la guerre' et "où triomphe la mort" pour évoquer la violence. Dans le document b l'auteur utilise des stichomythies : « la premiére fois est hésitante '' ''on ne sait pas'', '' autour du couteau ''. "Recule !" "N'avance pas !" Pour conclure nous pouvons dire que ces deux textes sont des hypotypose, car la scène décrite de telle façon qu'on croit la vivre, « les musles couteau , jallais de tous coté ,,,,

Mais la violence n'est pas racontée elle est aussi montrée , comme nous le montre la didascalie du document b "Sawda sort un pistolet et tire deux coups, coup sur coup" qui mets en scénes la violence de cette piéce , dans le documment B on voit en premier plan un homme nu , qui est de dos , il tien un fusils horizontalement