Ce corpus est composé de cinq texte de pièce différentes et de siècle différents. Le premier texte est extrait de « Le malade imaginaire » de Molière, auteur du 17 eme siècle connu pour sa satyre de la société. Le deuxième extrait est une comédie de Marivaux intitulé « le jeu de l'amour et du hasard » du 18 eme siècle. Cette pièce a été publie en 1730. Ensuite, la troisième scène présentée dans ce corpus est extraite de Ruy Blas de V. Hugo auteur du 19 eme siècle qui a ecrit également l'homme qui rit. D'autres part, une scène de la pièce de Jean Genet de 1946 nommée « Les bonnes ». Le dernier extrait de ce corpus est la scène 5 de l'acte 3 de « Le mariage de Figaro » de Beaumarchais Chacune de ces pièces met en scène une relation conflictuelles entre le valet et son maître. Ainsi nous allons nous intéresser à la figure du maître dans chacun de ces textes.

Depuis des siècles les relations valets-maître ou maîtres-valets se renforcent en conflits car les valets exigent plus de liberté et de droits . On peut dire que c'est après la révolution française que réellement cette relation va être fissurait car les valets vont exprimer leurs désirs de libertés même si Molière a bien avant cette révolution fait la satyre d'un esclavage intenable.
Dans ces textes on remarque que chaque valets en imposent à son maître se rebellent et s'opposent dans la scène du « malade imaginaire » Toinette contre les propos du maître Argan et s'opposent au mariage de la fille d'Argan contre le grès de cette dernière. Molière use de stichomythies pour montrer que Argan ne sait pas ou ne peut pas se faire respecter et que la relation maître valet et entrain de s'inverser comme dans la réplique de Toinette: « Bagattelles! ». Afin de tromper le maître dans sa supériorité les auteurs ont usé d'ironie comme dans le texte 2 car Arlequin le valet emploie un vocabulaire de préciosité envers son supérieur puis lui lance des mots presque crus afin de lui chercher querelle et lui montrer qu'il peut