Corpus
Victor Hugo, dans cet extrait nous montre le réalisme de cette scène. En effet pour nous montrer celle-ci, il nous décrit le logement insalubre de Fantine. Du a ses faibles revenus, elle ne peut subvenir à ses besoins primaires, les élements indispensables à la survie: se loger, respirer, boire, manger, se protéger... « Elle n'avait plus de lit, il lui restait une loque qu'elle appelait sa couverture, un matelas à terre et une chaise dépaillée.»; On peut également s'apercevoir qu'elle ne peut subvenir ni à ses besoins secondaires qui sont se vétir, se divertir, rencontrer du monde. « Elle sortait avec des bonnets sales » ; « Elle ne raccommodait plus son linge » « Elle rapiéçait son corset, vieux et usé, avec des morceaux de calicot qui se déchiraient au moindre mouvement ». On peut s'apercevoir qu'elle est en quelque sorte seule face aux autres,« Les gens auxquels elle devait, lui faisaient « des scènes », et ne lui laissaient aucun repos », elle est de plus seule face à sa situation de pauvreté, où elle n'a personne pour l'aider, ce qui l'a rend désespérée « Elle passait des nuits à pleurer et à songer ». Alors qu'au contraire une personne dans une situation difficile devrait être soutenue, aidée au lieu d'être exploitée comme le font certaines personnes qui sont malhonnêtes et rusées dans cet extrait « Le fripier, qui avait repris presque tous les meubles, lui disait sans