corpus
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Nous avons affaire ici, à un corpus de trois textes ayant pour objectif commun la dénonciation de la misère. Un premier texte datant du 17ème siècle, nous livre un extrait de l’essai Les Caractères de « l’Homme » de Jean de la Bruyère, classiciste. Le second est une définition de « misérable » apparût au cours du siècle des Lumières (1751-1772), rédigée par Diderot et d’Alembert, créateurs de l’Encyclopédie. Puis le dernier texte, réalisé par le chef du romantisme Victor-Hugo est un discours, Discours à L’Assemblée. Nous nous intéresserons et comparerons les stratégies argumentatives qu’utilisent chacun de ces auteurs dans les textes. On peut déjà différencier les textes en fonction de leurs visées : le texte A et C tentent de persuader en sensibilisant les lecteurs grâce aux émotions et aux sentiments. Tant dis que le texte B cherche plutôt à convaincre sur l’ampleur qu’a prit la misère. Texte A : • L’humains comparés à des animaux « animaux farouches, des mâles et femelles » ; « ils ont comme une voix articulée ».
• Puis, révélation que ces animaux sont en réalité des Hommes, choque pour le lecteur « en effet ils sont des hommes » simplicité dans l’annonce, effet de surprise.
• De comparer les hommes aux animaux permet de faire comprendre aux lecteurs, aux autre individus l’atrocité de la misère, qu’il n’est pas possible de laisser un être humain vivre dans ces conditions.
• Réduire l’être humain à l’état d’animal.
• « opiniâtreté invincible » souligne l’aspect de combativité face à la misère l’esprit de survie.
Sensibiliser
Texte C :
• « ! » exclamations dès la ligne 1
• « la rue du Bois-Saint-Sauveur » VH s’appuie sur des exemples précis.
• Discours direct, interroge une femme « - vous ne les ouvrez jamais ? – Jamais monsieur ! » c’est une preuve concrète, entraîne l’adhésion du lecteur, avec un exemple explicite.
• Dénonciation du travail trop important, trop fatiguant « le travail sans relâche, le travail acharné »
• Manque