Corpus
Texte 2 (1857) : Montre l’infidélité dans un couple où une femme rêve de son riche amant plutôt que de son mari : « Elle se réveillait en d’autre rêves ». Cependant à cette époque les mariages n’étaient pas forcément des mariages d’amour. Elle rêvait donc d’un monde qui semblait utopique, parfait, où elle aurait vécu des toujours heureux « dans une maison basse, à toit plat, ombragé d’un palmier,… ». Pour elle sa vie aurait été toute tracée. Cela montre la réalité d’un monde d’hypocrisie entre mari et femme de l’époque.
Texte 3 (1885) : Vision d’un monde passif. Etienne Lantier raconte son rêve à la famille Maheu. C’est le rêve d’un monde parfait tout comme le texte 2. Il va convaincre et persuader la famille de croire en se rêve extraordinaire et va leur donner de l’espoir : « entrant dans ce monde merveilleux de l’espoir ». Cela reflète une vision de la société passive, naïve qui peut être convaincu de quelque chose d’irréel simplement par des mots d’espoir.
Texte 4 (1932) : Vision d’un monde misanthropique. Le narrateur Ferdinand Bardamu semble ne trouver sa place nulle part : « Mais ce ne serait autre part ni plus agréable, ni pire… ». Il pense que les gens lui veulent du mal et il fuit tant qu’il peut pour redevenir un inconnu. C’est un rêve d’isolement comme le Texte 1. Cette une vision plutôt angoissante du personnage qui ne parvient pas à resté isolé (pareil que le perso du T1). C’est une boucle