Nous allons étudier trois textes présent au sein de ce corpus, La Belle et la bête de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont écrit en 1757, La demeure d’Astérion de Jorge Luis Borgès et La métamorphose de Franz Kafka écrit en 1915.
Ces textes présentent un thèmes communs les monstres. On se demandera qu’elles éléments apparentent les personnages du corpus à des monstres. Ainsi que, comment les textes parviennent t-ils à humaniser les monstres présentés.

Dans 2 textes on peut remarquer que les personnages sont déjà définis comme des monstres, des animaux ou bien des bêtes. Dans la Belle et la Bête, la bête ici est toujours qualifié, appelé la bête dès le début du texte. Dans la demeure d’Astrion, le mot animal est répété plusieurs fois.
Il y a également le fait qu’on les dit différent des hommes. Dans la Belle et la bête le fait que la bête n’est pas d’esprit, de réflexion peut le dissocié des hommes « Si j’avais de l’esprit ». Ce qui différencie Astérion, c’est le fait qu’il soit « reconnu de tous » et « Je ne peux pas être confondu avec le vulgaire » qui signifie confondu avec le commun des mortels nous montre que les individus ne le voient pas comme les autres humains mais également.
La peur que crée ces personnages comme dans le texte 1, « elle avait peur d’exciter la colère du monstre », « voulut soupirer, et il fit un sifflement si épouvantable, que tout le palais en retentit ». Mais également dans le texte 2, avec le registre épique « les gens priaient, fuyaient, s’agenouillaient ». Et le texte 3 « cet animal nous persécute », « sa mauvaise conditions physique ». Tout ces extraits de passage des textes nous montrent que la peur des individus, peut nous faire penser que se sont des monstres
Il y a également d’autres détails comme dans la demeure d’astérion, « l’autre Astérion » peut nous faire penser qu’il y a eu une transformation.

Dans les 3 textes, chaque personnes ont des émotions ou des réactions qui peuvent faire penser a l’homme. Dans la belle et la