La vision critique est mise en lumière dans cette œuvre. Les nombreux propos contre la religion prouvent cette affirmation. En premier lieu, l’église profite de la gentillesse de tout le monde pour faire du profit. Le religieux a fait des plans sur la façon dont il comptait gagner de l’argent suite au mariage de Colin et de Chloé. Il « comptait se payer un surtout neuf avec le bénéfice pris sur les cinq mille doublezons ». (Ligne 2830–2832) La partie du mariage expose qu’« en plus, il venait d’escroquer l’orchestre […], et refusait de payer le cachet du chef puisqu’il était mort… » . (Ligne 1832-1834) Tout ce qui est décrit est donc contraire à la religion et prouve que la religion de cette œuvre est dirigée vers une direction négative plutôt que positive. De plus, les mots suivants forment un champ lexical de l’église : « Sacristoche », « Bedon », « Chuiche », « Chevêche » et « Béniction ». (Page 110) Ils montrent, aussi, une certaine déformation des mots religieux donc ridiculisent la religion. Ils sont aussi à connotation dépréciative parce qu’ils rabaissent la spiritualité. En second lieu, les propos antireligieux pour mettent en évidence la critique des institutions. Les propos sur le monde du travail présentent également une critique. Tout d’abord, l’auteur montre que le travail des ouvriers est « terrible » (ligne 2015) et qu’on « voyait dans leurs yeux qu’une pitié un peu narquoise ». (Ligne 2018-2019) Cette citation met en valeur le fait que les ouvriers travaillent très fort. Il y a également une information qui contredit la réalité : le fait que les ouvriers sont mieux payés que les ingénieurs. Ceux qui travail avec difficulté, dans des conditions défavorables, sont mieux payés que l’ingénieur qui est assis confortablement dans leur fauteuil.
En conclusion, il a été bien défini que le merveilleux de l’histoire et la dénonciation de deux types de critiques sont en lien direct avec le surréalisme. Boris Vian intègre le surréalisme dans tout ce qu’il a