Correction
Même si nous vous demandons de faire confiance aux critiques de l’évaluateur, qui est une personne a priori compétente et consciencieuse, vous pouvez ne pas être d’accord avec elles. Deux possibilités s'offrent alors à vous : soit vous lui soulevez des objections, soit vous lui demandez d'inviter un de ses collègues à analyser ce travail dans le but de comparer les deux évaluations.
Ce principe permet le dialogue et la correction mutuelle au lieu d'imposer le jugement apparemment arbitraire d’une autorité incontestable. La discussion permettra ainsi une meilleure compréhension des différents problèmes impliqués dans la construction de la pensée.
Les réponses sont jugées acceptables, acceptables avec problème (précisé et explicité) ou non acceptables (problème précisé et explicité), en ce qui concerne les arguments qu’elles contiennent.
Consigne générale :
Répondez au mieux aux questions suivantes, de manière argumentée même lorsque cela n’est pas indiqué. Les réponses devront être rédigées de façon relativement synthétique. Lorsqu’un choix est demandé, il est possible d’envisager diverses réponses, mais il s’agit néanmoins de trancher en faveur d’une conclusion claire et déterminée.
Il ne s’agit pas de trouver « la bonne réponse », mais de faire sens, d’être clair et pertinent, de prendre en charge les problèmes posés sans tenter de les éviter, et de montrer la genèse des idées avancées dans les réponses. 1) Doit-on aider une personne qui ne veut pas être aidée ? A