ATextes de Manon.

· Ma vie est faite de souvenirs magnifiques et de ratures. Je tire un trait sur le passé. Moi je suis en réécriture d’un destin à remodeler. J’ai rarement montré mes faiblesses, mes soumissions qui s’étendraient à toutes ces passions qui me blessent, aux quelles je dis adieu.

· On repense sens cesse aux erreurs qu’on a commissent. On se dit toujours qu’on aurait pu faire mieux, qu’on aurait pu dire plus. On veut toujours revenir en arrière. Pour réaliser que tout aurais pu finir autrement.

· L’attachement est une absurdité, une incitation à la douleur. Les êtres s’attachent et deviennent dépendants l’un de l’autre à tel point que lorsque l’un vient à partir, le monde s’écroule autour de l’autre.

· On rêve d’un idéal, on le prie, on l’appelle, on le guette, et puis un jour où il se dessine, on découvre la peur de le vivre, celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves, celle encore de les marier à une réalité dont on devient responsable.

· Il y a certains jours où on repense aux souvenirs, ceux qui nous font encore rires aujourd’hui, ceux que l’on regrette, et qu’on voudrait effacer de notre vie, ceux que l’on voudrait revivre juste une seule fois…

· Parce qu’il y a des gens qui, en quelque phrase, trouvent les mots pour vous redonner l’envie d’avancer. Et qui, en quelque mot vous mettent la sourire aux lèvres.

· On se rend compte du bonheur qu’on a au bruit qu’il fait quand il s’en va. On se rend compte de ce que l’on a que lorsqu’on doit y renoncer.

· Des rêves ont en à tous, Oh, ce n’est pas qu’on ait l’intention de changer le monde, mais on est assez naïfs pour croire qu’en ce qui nous concerne les choses vont se passer différemment.

· Parfois, c’est en croissant le regard d’une personne de notre passé qu’on se rend compte que l’on n’avait pas envie de l’oublier. On n’a tous simplement pas eu le choix.

· J’ai appris que les adieux feront toujours mal, que les photos ne remplaceront jamais le plaisir