Corruption scolaire
Les écoliers, élèves et étudiants ont cette manie-là de tricher dès que l’opportunité y est offerte pour réussir, réussir facilement. C’est pratique qui n’est d’ailleurs pas élogieux mérite d’être punie pour que les expert en la matière en tire leçon.
Comme un acte mensonger, la tricherie est l’action de dissimuler habilement un défaut ou une insuffisance. Il s’agit par ailleurs d’une violation des règles selon le dictionnaire électronique « Encarta 2010». C’est aussi la malhonnêteté d’ordre moral ou intellectuel. Cet acte est aussi récurant dans la société que dans l’éducation. En milieu scolaire, la tricherie prend beaucoup de formes tant dans le primaire, le secondaire que dans l’enseignement supérieur. Selon le directeur du Collège d’enseignement général de Godomey, Pierre Lisboa, la tricherie en milieu scolaire, est le fait pour un apprenant de ne pas chercher à travailler pour réussir lui-même, un travail qui repose sur une organisation et la prise de conscience.
La tricherie sur toutes ses formes
La tricherie en milieu scolaire s’aperçoit sous différentes formes. Elle est presque identique dans les enseignements primaires et secondaires. Quant au supérieur, elle prend une autre tournure plus périlleuse qui non seulement ternit l’image personnelle de ceux impliqués mais aussi constitue un handicap pour une formation de qualité. Selon Pierre Lisboa la tricherie se manifeste par la détention d’un document compromettant au cours de l’évaluation des connaissances. « Avoir sur soi des documents sur le cours, le sujet, documents tiré du cours ou de l’ouvrage pour exploitation. Documents qui ont traits au sujet partiellement ou non. Cela dépend de l’adresse de l’élève ». Il arrive des fois que l’élève cherche à recopier ses voisins immédiats. Cette dernière forme est beaucoup plus récurrente dans le primaire. On aperçoit que la tricherie évolue de jour en jour