THEORIE GENERALE DES LIBERTES FONDAMENTALES

Concernant la justification de la matière, en effet, il s’agit quelque soit son intitulé (liberté publique, liberté fondamentale), d’une matière transversale, carrefour, dans la mesure où elle fait appel à toutes les branches du droit que nous connaissons tel que le droit constitutionnel, administratif, civil, pénal…
Étudier les libertés fondamentales, c’est d’une manière évoquer une de ces branches.

INTRODUCTION

§ 1/ Les droits de l’homme dans l’environnement culturel contemporain

( Se situer dans le temps et dans l’espace en prenant du recul

Nous sommes dans le contexte de la mondialisation, nous sommes nés avec cette affirmation de la mondialisation.
Une nouvelle étape a été franchie rapidement, brusquement et brutalement il y a une 20ène d’année avec la fin du bloc communiste, de la bipolarité est ouest.
En effet pendant près de 50 ans, cette bipolarité a assuré un équilibre. Le régime communiste n’était pas satisfaisant en matière de liberté, mais sur le plan mondial, l’équilibre était à peu près stable = équilibre de la terreur.

C’est dans ce contexte qu’ont été installé, instauré et développé l’organisation des relations internationales et plus particulièrement l’ONU; c’est en même temps qu’est adopté la déclaration universelle des droits de l’homme et ce contexte va donc favoriser ou suggérer une doctrine des relations internationales, du droit international.

Cette doctrine peut ici se résumer en 2 points: - c’est la doctrine de la souveraineté des états, c’est la doctrine de l’ONU - concrètement cette affirmation suppose, engendre l’interdiction du droit d’ingérence.

Quoi qu’il arrive, la doctrine de l’ONU supposait l’interdiction du droit d’ingérence au nom de la souveraineté des états.
Il n’y a aucune raison pour qu’un état intervienne dans les affaires d’un autre état. Il y a eu pourtant des accidents de parcours comme l’intervention à Budapest en 1956, en Tchécoslovaquie en