Cours du bellay
Du Bellay refuse de s’associer avec Hésiode donc avec les autres auteurs de la Pléiade. Cette démarcation n’empêche pas que l’épopée soit encore présente, et il ne faut pas en conclure que Du Bellay à arrêter de faire de l’épopée car il fait Les antiquité de Rome dans les regrets car il fait les épopées des civilisations. Le style des regrets se caractérise par des rimes assez simples reprisent dans les autres poèmes ce qui peut paraître monotone.
La furor : mot clé surtout pour la Pléiade synonyme de folie : fureur amoureuse et fureur poétique. Cette tradition est suivie par Marsile Ficin humaniste qui a traduit Platon. Il a transmis cette théorie, le fait que pour écrire il faut être inspiré comme quoi l’inspiration le talent ne vient pas de la personne en elle-même mais d’ailleurs. Cette inspiration peut venir d’un Dieu, d’une muse, elle peut venir aussi de l’amour de la femme aimée. A l’époque les poètes vont tout mélanger pour leurs plus grand plaisirs du coup toute les fureurs ensemble permettent énormément d’inspiration. Voir sonnet 4 page75 du livre. Il refuse de hercher l’immortalité envers l’écriture, pour lui il est plus bas, il ne ch erche pas à faire de son œuvre un monument, ça ne veut pas dire qu’il se place plus bas que les autres. Et dans le sonnet 7 il refuse le Pétrarquiste.
IV Une contradiction
Cette fureur plus basse apporte une ascension et cela aboutit à l’éloge de la France et l’éloge de Marguerite la femme du roi. Du Bellay voudrait la vertu page 214 sonnet 189 au final il cherche tout de même une ascension vers la vertu. Il y a une contradiction entre le début du recueil et la fin, il y a aussi à la fin du recueil une certaine fatalité.
Il y’a deux aspects dans le recueil, on passe de la satire le rire à l’éloge la sensibilité et les larmes.
Elégie : Chant de deuil ou chant de mort : ce n’est pas une tonalité ou un contenu