cours philo
Sextus Empiricus (Antique) contre les savants = encyclopédie négative où il s’agit de réfuter chacune de ces philosophies ; Ca ressemble à l’ouvrage de Bayle Dictionnaire historique et critique.
Montaigne : Apologie de Raymond Sebond (villey puf) Brahami puf philo chapitre le bestiaire »
Pascal : les pensées (sellier, édition avec concordances)
Descartes : Méditations métaphysiques
Doute : Etat de l’esprit qui suspend son jugement ou diffère une décision dans l’indétermination des raisons des motifs qui le pousse vers le vrai, le bien ou l’utile.
On peut distinguer deux doutes :
- un doute naturel et spontané, cad une hésitation dû à l’incertitude d’une assertion ou à la non prépondérance des raisons d’agir
-doute philosophique qui repose sur une résolution de douter. Il se présente sous deux formes :
Doute sceptique
Doute méthodique
Est-ce que le doute sceptique est philosophique ? ou bien ces deux doutes sont philosophiques ?
Tension entre l’être et le paraitre. Façon dont l’objet se présente à moi n’est peut-être pas ce dont il est lui-même.
1/ Doute sceptique
Skepsis = l’examen. Un sceptique est quelqu’un qui examine.
Le doute sceptique est un doute apparemment radical et universel.
Chez le sceptique, il y a l’impossibilité de distinguer entre le vrai et le faux. Ils ne vont pas renoncer mais rechercher, par la zététique. Attitude chercheuse que le sceptique oppose au dogmatique.
Suspension du jugement active et définitive. Suspension de l’assentiment (=le donné fait que l’on assenti à des données mais pour autant je ne produis pas de vérité générale).
Les sceptiques proviennent des relativistes (Protagoras fragment b2) : un radicalisme de la vérité qui ne peut pas se contenter de probabilités.
Pyrrhonisme = scepticisme.
2/ Doute méthodique
Doute cartésien. Il est radical. Il n’y a pas d’intermédiaire entre le vrai et le faux, il est universel. Il est rationnel. C’est la raison qui nous indique que les choses ne sont