2% des femmes sont affectées

Pour mon travail de session en Démarche d’intégration en science humaine, j’ai choisi de traité le problème des troubles alimentaires. Mon intérêt envers ce problème, qui prend de plus en plus d’ampleur vient du fait qu’une de mes bonnes amies, Cynthia Ducharme, souffrent de l’anorexie. Elle souffre de cette maladie depuis plus d’un an. En 12 mois, elle a perdu 45 livres passant du poids de 130 livres à 85 livres. La raison qui a déclenché sa maladie est que son ex amoureux l’avait trompé et lui avait dit comme raison qu’elle était devenue grosse et qu’elle ne l’attirait plus. À partir de ce jour-là, elle a tout simplement arrêter de manger. Son état était critique il y a 4 mois. Elle a dû se faire hospitalisée et est resté 3 semaines à l’hôpital pour se faire suivre par une équipe de spécialistes. Nous avions, mes amies et moi, essayé de l’aider du mieux que nous pouvions mais elle ne se trouvait pas jolie, avait une mauvaise estime d’elle-même et pensait juste a son poids. Aujourd’hui elle va mieux, elle a repris du poids et pèse maintenant 95 livres, ce qui est très maigre, mais au moins elle essaye de s’en sortir. Elle est suivit de très prêt par une équipe de spécialistes qu’elle voit 1 à 2 fois semaine. J’ai donc pris ce travail comme une occasion de faire des recherches plus approfondis sur le sujet afin de mieux la comprendre et ainsi de pouvoir peut-être plus l’aider à traversé cette dure épreuve. De plus, c’est un sujet qui m’avait toujours raciner. Dans le cadre d’un de mes cours en psychologie, j’avais fait un projet de session sur l’anorexie et j’ai trouver cela très intéressant. J’ai appris beaucoup de choses sur le sujet, mais aussi sur les gens qui souffrent de ces maladies. J’ai appris a comprendre qu’est ce que l’anorexie et la boulimie, mais aussi a me défaire des préjugés que j’avais sur les gens qui en souffrent. .
Dans mon travail je vais aborder les 2 troubles alimentaires les plus répendus, c'est-à-dire