Dans les années 1850, le roman de la terre apparut dans la littérature québécoise. Ce

type de littérature qui est caractérisée par le sentiment d’appartenance à la terre familiale et où l’agriculture est l’activité principale des protagonistes du récit sera marqué par exemple par Menaud maître-­draveur (1937). Suite à ce type de roman, certains auteurs comme Rodolphe Girard, ont décidé de se moquer des romans du terroir en critiquant, en riant ou encore rabaisser l’entité dominante jouée par l’église à cette époque. Dans son roman Marie Calumet (1904), M. Girard tourne aux ridules certaines situations entourant le clergé. Dans ce court travail, je vous montrerais comment M. Girard procède pour reconstruire les thématiques du roman de la terre et comment il critique par l’humour ce milieu en utilisant le chapitre II de son ouvrage. Dans ce chapitre il utilise le sexe, le voyage et de la religion même

Tout d’abord l’auteur utilise souvent le terme de la sexualité pour ridiculiser

l’autorité des curés. Dans la religion chrétienne, les membres du clergé doivent se soumettre aux règles de chasteté, donc en aucun cas, un