Tout à commencé dès le premier jour de ma naissance. Après avoir forcé pendant plus de 12 heures d’affilé, ma mère fût envahie d’un soulagement, car la douleur avait enfin quitté son corps, plutôt que d’une joie immense de voir pour la première fois le visage de sa fille unique. Mon père n’était d’ailleurs pas présent. Déjà là, quelque chose n’allait vraiment pas. J’ai grandit avec insouciance et naïveté, sans me préoccupé des catastrophes qui allaient constitués ma jeunesse. Le temps à avancé et mes parent se sont davantage disputés. Les engeulades se sont multipliés et les assiettes se sont d’avantages cassées. La peur du divorce ne traversa pas tout de suite mon esprit. Je croyais que maman était fâchée, car papa ne rentrait toujours plus tard que prévu à cause de sa surcharge de travail. C’est à 17 ans que j’ai réalisé qu’il fallait maintenant faire face à cette réalité déroutante : l’amour qui avait réunit deux personnes et qui leur avait fait passées les plus belles années de leur vie en plus de concevoir une jeune et jolie jeune femme plein d’avenir avait disparu, sans avertir et ne laissant aucune trace. C’est à ce moment que j’ai compris que le divorce était une réalité à laquelle je devais faire face peut importe mon désir. Je ne m’étais jamais sentie aussi impuissante face à une situation, et, sincèrement, je ne souhaitais plus jamais la revivre. Une fois la poussière retombée, j’ai voulus prendre le temps de m’asseoir avec ma mère et d’essayer de comprendre une fois pour toute, comment avaient-ils fais pour en arrivé là, car les nuits blanches à entendre ma mère pleurer, la voir passer ces journées renfermés et voir son corps maigrir à vu d’œil parce qu’elle n’a même plus force de manger m’étaient rendus totalement insupportable. C’est à ce moment que j’ai compris, après plusieurs tentatives à tendre l’oreille sur la porte de sa chambre à coucher, que les nombreuses chicanes, les vaisselles fracassées, les injures sans cesse utilisés avaient un nom :