Crise financiere
• Le plan est composé d'allègements fiscaux et de dépenses d'infrastructures afin de sauver l'économie américaine sévèrement touchée par la crise. Barack Obama s'est dit confiant que le plan «sauvera ou créera plus de 3,5 millions d'emplois au cours des deux prochaines années, encouragera les dépenses aussi bien des entreprises que des consommateurs et établira les bases d'une croissance et d'une prospérité durables de notre économie».
LE PLAN DE RELANCE FRANÇAIS/
Lors d'un déplacement, le 4 décembre à Douai, le président de la République a détaillé son plan de relance pour l'économie. Le chef de l'Etat a donné la priorité à l'investissement pour "soutenir l'activité d'aujourd'hui et préparer la compétitivité de demain". Montant global du plan : 26 milliards d'euros.
"La crise que nous traversons n'est pas une crise passagère. Cette crise structurelle va transformer pour longtemps l'économie, la société, la politique (...). Parce que la crise est forte, la réponse doit être forte (...). Notre réponse à la crise est un effort d'investissement massif". Axé sur l'investissement et les entreprises, ce plan de relance de l'économie d'un montant de 26 milliards vise à soutenir, sur les deux ans à venir, l'emploi dans les secteurs cruciaux de l'automobile et du logement.
Accélérer les investissements publics. Quelque 10,5 milliards d'euros d'investissements supplémentaires de l'Etat (4 milliards), des grandes entreprises publiques (4 milliards) et des collectivités locales (2,5 milliards) vont être mobilisés pour accélérer divers programmes d'équipements publics. Sont notamment concernés les équipements de défense, l'université et la recherche, la remise en état du patrimoine de l'Etat et les infrastructures routières, fluviales et ferroviaires.
La réalisation du canal Seine Nord Europe