Critique de film ; django unchained

786 mots 4 pages
DJANGO UNCHAINED :
TARANTINO DANS TOUTE SA SPLENDEUR

Annoncé comme le film de l'année, attendu par des millions de fans a travers le monde, DJANGO UNCHAINED, le nouveau film de Quentin Tarantino est sorti en salle Mercredi 16 Janvier 2013.Les attentes du public ont elles été comblés, retrouve t-on un Tarantino en force après 4 ans d'absence sur la toile ?
Steve répond a nos questions.

Après s’être attaquer à l'apologie du crime organisé (Pulp Fiction, Reservoir Dogs), la structure stéréotype du film d'art martiaux (Kill Bill 1 & 2) ou encore la violence abominable du film de guerre anti nazi (Inglorious Basterds), Tarantino se rue aujourd'hui sur l'essence même des films américains friands de fusillades ;
Le Western.On retrouve à travers ce nouveau type de film une continuité logique a sa filmographie inventive et originale qui en réjouira plus d'un :Dans ce nouveau chef d’œuvre du 7e art on embarque pour un voyage dans l'impitoyable Ouest Americain du temps des cow-boy en compagnie des habituels protagonistes du genre.L'action se situe 2 ans avant la guerre de Sécession dans le Sud des Etats Unis, ou l'on retrouve Django, un esclave noir affranchit nourrissant une soif de vengeance interprété par Jamie Foxx.
Christoph Waltz, excellent dans le rôle du Nazi sans foi ni loi dans Inglorious Basterds, trouve botte à son pied ici, interprétant un Chasseur de Prime implacable et hautain, le Dr King Schultz qui aidera et entraînera Django tout au long de sa quête.On retrouve aussi pour le plus grand bonheur de nos yeux l'admirable Leonardo Dicaprio, tout bonnement sublime dans son rôle du Méchant impétueux et colérique, Calvin Candie, riche propriétaire esclavagiste de Candyland.

« DANS LA DROITE LIGNE D'INGLORIOUS BASTERDS »
Dés les premières secondes du film, Tarantino nous plonge dans l'univers rude et dur de l’esclavagisme américain du 19e siècle, introduisant ainsi le sujet principal du film, tout en gardant son point d'honneur pour la mise en

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