Critique de la pièce de théâtre "La Déprime"
Communication et théâtre
601 – ABA – AT
RAPPORT D’OBSERVATION : LA DÉPRIME
Travail présenté à
Josianne Auger
Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue Mars 2015
Critiqe d’une pièce de théâtre : La Déprime
Nous sommes dans un terminus d’autobus à Montréal. Beaucoup de personnages sont sur leur lieu de travail en tant qu’employés du terminus, mais d’autre qui travaillent comme taxi ou bien le policier, tandis que d’autres sont des voyageurs pressés entre deux autobus, en recherche de voyage, ou en tournée de danse.
Le rapport entre le public et le jeu est constant; Lorsque Paul-émond Gagnon cherche le numéro de téléphone de sa bien-aimée, le public peut lui répondre : 88 : 08. De plus, lorsque l’entracte est annoncé, on annonce une offre à la bombe et on demande au personne présente d’évacuer pendant que l’on fouille les lieux, le policier se glisse dans les gradins et recherche la bombe parmi les sièges des spectateurs, et ensuite, l’explosion de la bombe annonce la fin de l’entracte; ingénieux moyens de retrouver l’attention des spectateurs rapidement, selon moi.
Également, la danseuse annonce dans quel bar elle s’en va danser, elle parle du bar le 69, situé au ‘69 rue principale’, ici à Rouyn-Noranda, démontrant une adaptation faite pour la ville dans laquelle la pièce est présentée.
Selon moi leurs interactions ont été réussies et les spectateurs étaient réceptifs et attentifs et plusieurs fois les rires étaient retentissants.
Le décor se trouvait à être plutôt chargé et composé de beaucoup d’éléments, mais chacun trouvaient leur fonction. En partant de l’extérieur, des autobus sens dessus dessous cernaient la scène à gauche et à droite, et même au-dessus, pour représenter un accident qui serait survenu plus tôt. Au fond, on retrouve 3 portes portant les numéros 10, 11 et 12, à droite se trouve des téléphones publics payants, au milieu de la scène plus à l’avant se trouve un banc bien en vue et à sa gauche le comptoir du commis à l’accueil,