Croissance endogène
Peter Howitt Université Brown
Dans son article Peter Howitt mets en avant la nouvelle théorie de la croissance endogène. En effet, l’auteur commence par faire un parallèle entre l’ancienne théorie néoclassique du modèle de Solow, de Swan en 1956 et le modèle de croissance endogène apporté par Römer en 1986, Lucas en 1988. Toutefois il introduit, que la théorie endogène de 2004 ne ressemble en rien à la théorie promu par le modèle initiale Solow, du fait d’ajoute de variable d’élément réels. L’auteur poursuit en affirmant que son objectif, est que décrire les modifications qu’a subit la théorie durant les dernières années suite à de nouvelles conclusion empirique, de mettre avant les idées fondamentales apportées par les modèles initiaux et leurs conceptions face à la réalité d’aujourd’hui (état et incidence).
Afin d’y parvenir, il met en évidence plusieurs axes de développement lié à la croissance économique :
Dans sa première partie, Peter Howitt mets l’accent sur le processus de la recherche et développement (R&D), l’innovation, la productivité et la croissance endogène.
Il affirme que la théorie de la croissance endogène apparait quand celle-ci reprends l’une des principales conséquences la théorie néoclassique, c’est-à-dire selon laquelle le taux de croissance à long-terme de la productivité totale des facteurs repose sur le taux de progrès technique. En outre, il prétend que la croissance endogène s’écarte de la théorie néoclassique des lors que celle-ci, considère que le progrès technique repose sur des forces économiques et qu’il peut donc être influencé par des politiques économiques.
En effet pour Peter Howitt, le progrès technique est issu des innovations, il parle des nouveaux produits, des nouveaux procédés de production et que les innovations découlent de sciences fondamentales et d’un taux plus ou moins élever de progrès scientifique.