Croissance et crise
Croissance pour les classiques : c’est l’accumulation du capital, seuls les capitalistes ont les revenus nécessaire pour épargner. Les travailleurs sont opposes à eux, ils ont un salaire de subsistence, ils ne peuvent donc pas épargner. Et pour finir, on a les proprietaries fonciers. Ils reçoivent une rente, et ne travaille pas pour avoir un revenue. Ils le consomment entiérement.
Les proprietaries fonciers utilisent les travailleurs improductif. Selon les classiques, du comportement vertueux des capitalistes, il y’a croissance.
Smith : la division du travail est caractérisque de la richesse des nations, cette division est du à l’étendue du marché… Plus c’est grand plus on produit. Smith se rend compte que la croissance est borne, il va donc y’avoir une concurrence entre les capitalistes, et va faire baisser le taux de profit. Il y’a peut être un moyen de changer cette finitude de la croissance par le commerce extérieur. Pour lui, les bornes à la croissance ne vient pas de la concurrence entre capitaliste.
Ricardo : il va être aider dans son raisonnement grâce aux travaux de Malthus. Ils ont écrit tous les deux : “la loi sur les pauvres”. Bornes de la croissance, ne passé pas par la concurrence des capitalistes. La croissance augmente de façon arithmétique, tandis que la démographie augmente de manière géomètrique. Malthus va également metre à jour, la loi des rendement décroissants. Plus un bien contient de la quantité de travail, plus il a de la valeur. Il distingue deux types de bien : marchandises (indéfiniement reproductible), et des biens rares (modes, rareté… element subjectif). Pour faire face a cette augmentation de la population, on met en culture des terres moins productives, donc pour produire la meme quantité que les autres, il faut plus de travail, et plus de capital, le prix des biens produit augmente donc. Quand le prix du blé augmente, les salaires augmente, et quand les salaires augmente, le profit baisse. La rente