Après la Seconde Guerre Mondiale, le PIB était un bon indicateur de richesses pour un pays. Il évaluait non seulement la richesse qu’un pays puisse avoir mais aussi le bonheur et le bien-être des citoyens.
Aujourd’hui, il ne suffit plus à évaluer correctement les activités d’un pays. Cela crée des résultats erronés aux vrais richesses qu’un pays puissent avoir.
Le PIB est la croissance économique d’un pays (Produit intérieur Brut). Il est composé de deux parties : La valeur marchande et la valeur non marchandes. La création de richesse étant donc mesuré par le PIB est purement marchand et monétaire.
Le problème actuel est que le PIB n’est plus un bon indicateur pour mesurer la croissance d’un pays car il ne prend pas en compte certains services.
Dans une première partie nous montrerons qu’après la Second Guerre Mondiale, le PIB était un bon indicateur de richesse pour un pays et dans une seconde partie qu’il ne suffit plus aujourd’hui à mesurer la croissance d’un pays et qu’il serait préférable de trouver d’autres indicateurs.

I. Le PIB, bon indicateur de richesses durant les trente glorieuses.
Après la Seconde Guerre Mondiale, la priorité était de reconstruire et moderniser le pays. Pour les citoyens le PIB était l’indice essentiel de réussite pour la société. Si on assistait à une hausse du PIB cela signifiait une satisfaction des besoins du citoyen. Mais attention, le PIB et la croissance ne mesure pas le bien être. Le PIB ne comptabilise que des valeurs marchandes.
A. La valeur marchande (valeur ajoutée)
C’est l’assemble de tous les biens et services qui se vendent dans un pays durant une année.
Il suffit pour cela de calculer le chiffre d’affaires et d’ôter les consommations intermédiaires. Là nous avons la production d’une entreprise, et cette dernière rentre dans le calcul du PIB.
On y inclue aussi la production des administrations publiques. Pour le calculer, on prend la rémunération des salariés et on y ajoute les impôts et les