Cyberaddiction
Une nouvelle étude dans le domaine, publiée par la revue Perspectives in Psychiatric Care, indique que ce problème d’addiction est devenu sérieux. Ce terme général d’addiction à Internet regroupe en fait plusieurs types de « drogues » virtuelles et toucherait quand même entre 5 et 10% des surfeurs à l’échelle mondiale, ce qui soit dit en passant représente un nombre imposant de personnes.
Ceux qui ont réalisé cette étude ont séparé l’addiction générale en cinq comportements plus spécifiques :
Addiction au cybersexe
Addiction aux relations virtuelles
Besoin compulsif d’accéder au web
Besoin de sentir une « surcharge » d’informations
Besoin compulsif touchant les jeux en ligne (qui a dit World of Warcraft ?)
Concernant le besoin compulsif d’accéder au web, il s’agit en fait plus précisément d’une série d’habitudes reprenant les paris en ligne, les enchères, les achats en ligne ou encore la consultation du cours de la bourse et des spéculations qui suivent. Concernant la surcharge d’informations, il s’agit tout simplement du surf consécutif de plusieurs sites web pour se tenir à jour des nouveautés dans des domaines variés (no comment).
Les hommes et les femmes ne sont encore une fois pas égaux devant le phénomène. Si les hommes sont par exemple plus dépendants au cybersexe et aux jeux en ligne, les femmes sont plus fréquemment associées aux relations virtuelles (les fameux « dials »). Si votre niveau d’anglais vous le permet, vous pouvez d’ailleurs tester ici votre niveau d’addiction à Internet. Bien entendu, le résultats n’a pas force de loi et ne fournit qu’une information relative.
Il est intéressant de constater que, parmi les « drogués » de