Lorsque le projet d’endettement proposé par les banques vers les années 70 apparaît, l’Inde n’y participera et en ce sens ne souffrira pas des hausses des taux d’intérets américains. Ce qui fait qu’au début des années 80, l’Inde se trouve etre le pays le moins endetté du tiers monde.
Le premier prêt du Fonds monétaire international est octroyé à l’Inde en 1981 mais en 1985 la banque mondiale clame une dévaluation de la roupie alors que ce dernier continue de financiers de nombreux « éléphants blancs ». Lors du mandat de Rajiv Gandhi ( 1984-1989) les crédits ont été multipliés par trois dans le but de fincancer les importations qui permettrait une modernisation de l’industrie d’exportation et dans le même temps une croissance continue. Oui mais voila, comme aillerus dans les pays du tiers monde les exportations ne couvrents pas les importations et le processus d’endettement est déclenché. C’est donc une dette extérieure indienne multipliée par trois qui nait avec la liberalisation du pays.
En septembre 1991, l’Inde est endetté, on estime sa dette à 83 milliard de dollars contre 20 milliard en 1980 mais elle reste totu de même solvable grâce à des prêts octroyés par le Fmi et la banque mondiale ( environ 7.6 milliards de $) qui demande en échagne à l’Inde d’intégrer dans sa politique un Plan d’Ajustement Structurel radical soit une privatisation massive, une libéralisation du commerce de des capitaux, des réductions drastiques….. En 1994, c’est un tournant dans l’économie indienne, elle adhère à l’ Organisation mondiale du commerce ce qui a pour conséquences primaires d’augmenter la dette de l’état, son déficit budgétaire et dans le même temps la pauvreté. La dette est désormais estimé à plus de 100 milliard de dollars.
De plus, le pays subit la mondialisation ce qui entraine deux conséquences majeures. D’une part, le départ d’une partie importante des ingénieurs ce qu’on apelle « brainstorming » et d’auter part le prootectionnisme des « pays riches »