Découpage des deux mise en scène de richard iii
JOLLY : choix de l’exhaustivité.
OSTERMEIER : regietheater. Il a coupé. Il choisit un seul en scène pour la fin.
I. LA MISE EN SCÈNE DE THOMAS JOLLY.
C’est l’ère du chaos=> choix esthétiques sombres.
TJ joue une tétralogie. On est à la fin de la guerre des deux roses.
RII ouvre le règle des Lancaster. Puis RIII le ferme.
RIII = crépuscule du pouvoir.
A) DANS TJ ON OBSERVE L’ART DU FEUILLETON. …afficher plus de contenu…
Mouvement descendant qui dit la transcendance.
Apparition des spectres devant R.III avec vapeur = // film d’horreur/ Clip. Mouvement cette fois ascendant, mouvement d’expiation infernale, hommage à Mickael Jackson.
FIN prophétique, célébration de la fin de guerre civile et du règne d’Elizabeth.
Aristote dans la poétique: la tragédie n’est interessante que dans les divisions intestines, fratricides. un conflit entre ennemis n’est pas intéressant sinon dramatiquement.
La mort de R.III résout la fable, le titre s’autodétruit donc: cf. RICHARD III s’efface et devient THE
END à la fin.www
I. LA MISE EN SCÈNE D’OSTERMEIER
Créer les conditions pour permettre a l’acteur l’expression de ce qu’il a produit. …afficher plus de contenu…
Jan Kott, Shakespeare notre contemporain / Je désire le pouvoir, je l’exerce de manière tyrannique donc on me reprendra le pouvoir etc etc… cercle vicieux.
= Bunraku : marionnette ne parle pas. narration dédoublée. Le narrateur raconte l’histoire pendant la musique puis les montreurs font jouer la marionnette. Ils sont dissimulés sous des vêtements noirs, le kabuki. Les marionnettes sont blanches non humaines => caractères théâtral. Montreurs déplacent les marionnettes sur scène.
Des marionnettistes jouent la marionnette principale pendant que l’on déplace les marionnettes secondaires. Vice versa. Même technique ici.
= innocence et perversion. Le jeune prince en marionnette est sur les genoux : substitut trompeur de la figure paternelle protectrice. Il en est le double corrupteur