Après la lecture du livre « procès Dutroux, penser l’émotion » et plus précisément en m’arrêtant sur le chapitre 7, intitulé « Qui sont les délinquants sexuels ? Faut-il les punir ou les soigner ? », écrit par Nadine Vander Elst, j’ai décidé d’approfondir la question.
Il faut savoir qu’il n’existe aucun portrait « type » de ce genre d’individus mais bien de nombreuse catégories telles que les voyeurs, les exhibitionnistes et bien d’autre encore. Cependant la plus grande menace pour notre société reste sans aucun doute les violeurs et les pédophiles. La seule chose que ces personnes vont avoir en commun c’est la catégorisation que la justice leur donne « auteurs d’infraction à caractère sexuelle ». Dans la majorité des cas, on parle pas de maladies mentales mais de pulsions incontrôlables c’est pour cela que j’ai le même point de vue que le livre : il faut punir ces individus et éventuellement les soigner dès le début de l’incarcérations de manière contrainte si cela s’avère utile. Mais en général on soigne en fonction de leur délit mais on oublis bien souvent leurs besoin afin de limiter les risques de récidives seraient de 14% dans les 5ans d’après un rapport de l’Académie de médecine de Paris datant de juin 2010. Il n’est pas négligeable de rappeler que ce taux est sous-estimé, car il ne prend en compte que les récidives sanctionnées or nous savons tous qu’un grand nombre d’événements échappent encore à la police et à la justice comme nous le précise le professeur Milgrom. Je pense également qu’il n’est pas bon de les réinsérer dans la société de manière directe sans plus aucuns suivis, les pensant soignés et sans plus aucun danger pour la