Dépénalisation du Cannabis :

A l’heure actuelle les français sont les premiers consommateurs de cannabis selon l’observateur français des drogues.
La question du cannabis est depuis longtemps dans les tiroirs de l’Etat mais elle reste timide à se montrer.
En 2003 Nicolas Sarkozy avait soumise une idée mais celle-ci n’a pas prospérée, en Juin 2011, Daniel Vaillant, ex-ministre de l’intérieur proposa une légalisation controlée, celle-ci n’a pas été prise au sérieux.
Francois Hollande est catégorique à ce sujet : il n’est pas pour même si une de ces ministre, Cécile Duflot rappel que son parti (Europe Écologie Les Verts) est en faveur à la dépénalisation.

Hier, La garde des Sceaux, Christine Taubira, étudiait un allégement des sanctions à ce sujet. Elle dit d’ailleurs : « La prudence en la matière confinerait à la lacheté »

La question posée : Quelles seraient les conséquences d’alléger les sanctions comme la dépénalisation sur le cannabis ?

Nous allons voir que dépénaliser le cannabis peut avoir un effet positif sur l’économie, que certains problèmes comme le trafic illégales ne seraient pas forcément résolu et que d’un point de vue sanitaire, le risque est important

Tout d’abord, le fait de dépénaliser le cannabis permettrait de désengorger la justice française. En effet la plupart des arrestations pour la détention de cette drogue sont des délits que la plupart considèrent comme mineurs du fait de leur trop grand nombre.

De plus, du faite d’une augmentation de consommation de cette drogue, la police renonce de plus en plus aux poursuites car ils ne tombent que sur des détentions de faibles doses de cannabis. A la suite de ces arrestations, les usagers, quand ils sont jugés, repartent la plupart du temps avec un sursis et mise à l’épreuve, dont l’exécution n’est jamais contrôlée.
Enfin, la pénalisation pour les forces de l’ordre était un moyen pour remonter les réseaux de trafiquants pendant les gardes à vues, choses qui est maintenant impossible avec la