Dalhousie
Les publications de ce groupe ont été mises à la lumière par un jeune homme qui avait montré la page à une des jeunes dames ciblés, qui par la suite les a partagés avec le média. Les administrateurs de l’université sont frustrés. Ils ont suspendu les 13 hommes et leur oblige de participer à un processus de justice réparatrice avec des victimes. L’homme qui à partager la page avec la victime, Mr. Millet, ne participe pas au processus de justice et affirme que l’administration l’accuse de salir leur réputation. L’administration croit qu’il n’aurait pas dû avertir la femme des abus contre elle, et qu’il aurait dû aller directement à l’administration afin de régler ce problème. Ce n’est pas connu si le jeune homme « whistle blower » serait permis de retourner à ses cours puisqu’il ne participe pas au séminaire réparatrice.
Question éthiques
Est-ce juste une blague, est-il une vraie menace, ou est-il du « cyber bullying » ?
D’après moi, c’est une blague inappropriée. Les hommes n’avaient aucune intention d’agir sur ce qu’ils disaient, ni voulait-il rendre mal à l’aise les jeunes femmes dans leur faculté. C’était un groupe secret, mais lorsqu’il fut partagé, c’est seulement là qu’il y a eu des problèmes. Si c’était moi une des victimes de ce groupe j’aurai simplement soulevé mes sourcils aux hommes