Dans ma bulle
Je me pose beaucoup de questions en ce moment.
Est-ce que je devrais faire si, faire ça. Je ne sais donc pas.
J’aime écrire, peut-être du n’importe quoi, mais je me fiche complètement de l’avis des autres.
Parfois je suis dans ma bulle, parfois non. Parfois je souris, parfois non. Parfois je rêve, parfois non. Parfois je cris, parfois non.
Je hurle mon désespoir comme dirait le professeur de Français.
Mais malgré cela, j’aime la vie...
Bien que « aimer » soit un très grand mot !
Il n’y a jamais eut de réelle définition du mot « aimer » je pense.
Passons.
Un jour, je me réveillerai, le sourire montant jusqu’au oreilles dans un courant d’air frais en sortant de mon lit.
Je me demanderai peut-être comment ai-je bien pu me réveiller dans cette chambre, cela nous ne le sauront jamais, ni toi, ni moi. Normalement, je devrais me poser un tas de questions :
- « où suis-je ? »
- « que m’est-il arrivé ? »
- « comment suis-je arrivé jusqu’ici ? »
Non, je ne pense pas que je me les poserai.
Sans doute, un sentiment étrange me parviendra à l’esprit. Je ne sais pas.
Je doute que ce moment arrivera, nous verrons bien.
Pourquoi moi, j’écris des textes comme celui-ci ? Je ne sais pas.
Je sens néanmoins ce sentiment, plutôt proche de l’adjectif « peur » que de l’adjectif « terrifié », je pense qu’il s’agit de la frayeur, oui c’est bien ça, je viens de trouver le terme exact à ce genre de situation. Enfin, j’en déduis que ça doit être celui-ci.
Passons.
Je réfléchis souvent, le plus je crois que c’est avant de dormir. Je ne sais toujours pas pourquoi.
J’aime écrire, je ne peux m’empêcher d’écrire, j’écris souvent, tellement souvent.
Le plus spectaculaire, c’est que je sais ce que j’écris, et quand il y a une feuille et un stylo devant moi, je n’hésite pas. On n’a pas besoin d’avoir de l’imagination pour l’écriture, c'est-à-dire que du moment où tu penses, il ne te reste plus