De la composante énergétique de la douleur à la composante énergétique de la conscience
Bernard Dubreuil, Massothérapeute agréé, membre de la FQM bernarddubreuil@chantsu.com, 514 827 2051
‘’Notre travail, ce n’est pas de voir ce que personne n’a jamais vu. C’est de penser ce que personne n’a jamais pensé à propos de ce qui était déjà là sous nos yeux’’. Erwin Schrödinger, Prix Nobel de Physique, 1933
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Les médecins et les psychologues spécialistes de la douleur indiquent tous que la douleur est une expérience multifactorielle. Ils décrivent les composantes tissulaires, cognitives, émotionnelles, culturelles, socio-économiques et comportementales de la douleur… Et ils insistent sur le fait que ces composantes sont toutes reliées entre elles.
Aujourd’hui, la définition de la douleur est beaucoup plus large que la définition qui était en vigueur il y a 60 ans. À cette époque, seule la composante tissulaire était prise en considération. Les personnes qui se plaignaient de douleur alors que leurs tissus étaient sains ou redevenus sains… étaient orientées vers des soins psychologiques ou psychiatriques.
Pourtant, il y a encore aujourd’hui une composante de la douleur qui est complètement laissée de côté : la composante énergétique.
Existence des champs énergétiques naturels autour du corps
En médecine hospitalière, on utilise depuis longtemps les champs énergétiques dans et autour du corps pour créer des images du corps et aider au diagnostic : * Les appareils d‘EEG enregistrent directement les variations d’ondes de dépolarisation dans le cortex. * Les appareils de MEG enregistrent les variations du champ magnétique qui accompagnent les ondes de dépolarisation. * Les caméras CCD ultra sensibles ou les photo-multiplicateurs absorbent les photons qui sont émis par les tissus vivants et les transforment en courant