De quel état d'esprit des combattants de la première guerre témoigne ce texte ? mettez en évidence l'intérêt et les limites de ce document.
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Il s'agit ici d'un extrait de texte provenant du livre '' Orages d'acier ''. Sa première édition date de 1920 mais celle-ci est parue en 2008. Son auteur est Ernst Jünger. C'est un officier allemand valeureux, qui fut blessé 17 fois durant la guerre. Il appartient à la droite conservatrice allemande mais il a pris ses distances vis à vis du nazisme. Cet extrait se déroule pendant la guerre, en 1917, et c'est cet officier allemand qui est au centre de cette expérience combattante. Dans un premier temps, nous allons présenter les intérêts de ce document. Nous pouvons distinguer que de la ligne 4 à 5, les allemands sont munis de multiples armes de guerre. Ensuite, l'officier allemand veut montrer de la ligne 6 à 9 que rien leur fait peur car en effet, il explique que ces alliés restent figés et guettent l'ennemi mais ce n'est pas tout car aux lignes 12 et 13, l'auteur, Ernst Jünger, veut mettre en avant la puissance des allemands face aux français. Il apparaît donc tout d'abord que cet officier allemand croit que son armé est invulnérable tant il est fière des moyens que son pays a apporté à la machine de guerre allemande.
Dans un dernier temps, nous allons exposer les limites de ce document. Aux lignes 14 à 16, nous pouvons voir que l'auteur veut nous prouver que l'adjudant Hock est responsable de l'attaque des allemands face aux français car en effet, la fusée rouge, comme le dit l'auteur à la ligne 16, était comme une sorte de signal de départ pour lancer l'attaque des artilleries allemandes. Ce signal transforma le champs de bataille en un véritable enfer car comme le dit l'auteur aux lignes 20 à 22, des français et allemands trouvèrent la mort au combat suite aux multiples lancés d'obus, qui atomisèrent des milliers de soldats, voir plus. Donc, on peut en juger qu'aux lignes 24 à 26, l'officier allemand reconnaît que c'est suite à une erreur qu'une trombe de feu s’abattit sur l'ennemi français. On peut aussi croire qu'il essaie de nous dire, dans le