A ce jour la planète perd environ une espèce animale ou végétale toutes les 25 minutes, soit à peu près 21200 espèces par an. Si cette diminution ne cesse d’augmenter les scientifiques prévoient une nouvelle crise biologique. Ces mêmes scientifiques s’accordent à dire que la principale cause de ces extinctions massives est l’activité humaine.
On cherche donc à comprendre ce qu’es une crise scientifique et en quel en est l’impact de l’activité humaine.

Une crise biologique est une période durant laquelle, à l'échelle du globe, de nombreuses espèces diverses et variées animales et/ou végétales disparaissent simultanément, au cours d’un laps de temps court à l’échelle des temps géologique. L’importance de la crise se mesurant alors en fonction notamment du nombre d’espèces disparues.

Pour de nombreux scientifiques au vue du rythme des disparitions actuelles les activités humaines sont fortement incriminées. En effet l’activité humaine qui ne cesse de croitre, se rependant sur toute la surface du globe en allant dans les milieux jadis vierge de toute exploitation, est mise au-devant de la scène avec notamment la déforestation, les activités minières, l’industrie chimique, l’agriculture intensive, la pêche …
Nous intéressons donc à la déforestation en Amazonie. Ce fléau lié à la conversion des zones boisées en champs pour la production de soja en grosse majorité, l’industrie minière qui a un enjeu très important au niveau économique de par la richesse des sols (or, cobalt nickel, diamants…) mais qui provoque aussi directement des dégâts: une seule société minière provoque 300 000 tonnes par jour de déchets contenant du plomb et du mercure ; ou encore à la recherche de bois exotique pour la production de meubles engendre de nombreux dégâts. En effet, 1/5° de la foret est déjà détruite, créant ainsi des micro changements au niveau climatique avec l’ouverture de la canopée qui sont à l’origine de l’appauvrissement des sols avec la destruction de nombreux