Descartes - la conscience
D’après Michel Gourinat, de la philosophie
* Avt Descartes, « conscience » s’entendait ds le sens de « conscience morale » par laquelle ns savons que ns avons agi, et qui ns permet de juger de la valeur de cette action (par ex. : bonne, mauvaise…) * Descartes pose le cogito, le « Je pense » comme fondement de tte certitude en tant que premier principe métaphysique * La csce est dc rattachée à la pensée, et non plus à l’action. Pr lui, pensée et csce st identiques (« Par le nom de pensée j’entends tout ce qui est en nous de telle sorte que nous en soyons immédiatement conscients, et pour autant que nous en soyons conscients ») * Je pense, donc je suis certain que j’existe (parce qu’en même temps je pense que je pense) * Je suis certain que je suis que pour autant que je pense * La pensée est donc un attribut essentiel du sujet, le « Je » peut donc être défini comme une « substance pensante ». le « Je » est donc l’âme individuelle (cad présente en chaque individu). * La pensée étant un attribut essentiel de l’âme, celle-ci pense toujours en acte, cad que l’opération de la pensée est en elle tjrs présente. Donc une âme qui ne penserait n’existerait pas. Elle doit donc être toujours consciente.
Pb. : il y a néanmoins des intermittences de la conscience (évanouissement que l’on nomme aussi perte de csce, sommeil ss rêve, …)
Réponse : ce n’est pas l’âme qui s’arrête de penser de telle sorte que nous n’en soyons pas conscients, c’est nous qui ne nous souvenons pas de toutes nos pensées, et cela peut se vérifier par l’expérience : alors même que nous sommes éveillés, conscients, nous ne gardons pas en mémoire toutes nos pensées. Pendant que nous rêvons, nous sommes instantanément conscients de ce que nous rêvons, bien que nous les oublions sur le champ.
Pb. : quid de l’embryon ?