Maupassant met en scène une monté d’escalier symbolique grâce a la longueur de cette extrait n’est que de 50 lignes et que les actions du héro n’on aucunes variétés, ni importance : monter et se regarder dans le miroir. Certes un épisode en apparence intermédiaire et sans grande signification.
Mais on remarque que le rythme du passage est significatif ; tel la longueur des trois grandes parties du passages (31lignes, 11lignes et 7lignes). En effet, on a un trois parties qui corresponde a trois étapes, avec un effet d’accélération, surtout grâce a l’asyndète des lignes 44 a 50. D’ailleurs, on repère une description du mouvement qui confirme cette accélération, comme nous pouvons le voir dans les marqueurs temporels et les verbes de mouvement se trouvant dans les différentes parties du passage ; « lentement », « demeurer » et « maintenant » dans la première partie, « monter fort vite’, ‘passer » et « marcher » dans la deuxième tandis que dans la troisième il y a « courir » et « sauter ».
Une accélération qui en outre est accompagnée d’une évolution des sentiments du personnage dans l’espace et dans le romans ; comme au début Duroy est surpris et n’a aucune confiance en sois représenter dans le roman par les premières page du livre qui est Duroy qui se promène dans Paris et qui regarde des bourgeois au Terrace des café. Également par une certaine prise de continence représenter par le souper chez Forestier, Ainsi que la rechute symbolisée par l’insatisfaction et la jalousie de Duroy par rapport a Mr Walter et Laroche Mathieu. En plus le sentiment de confiance immodéré de Duroy est reflété dans le livre par l’apothéose finale, la sortie de l’église après son mariage avec Suzanne. Et Egalement vu pas le champ lexical des sentiments (lexique affectif) abondant dans ce